Evidentia Originals ™ (Exclusivités Evidentia) est une collection de mes oeuvres de fiction et de non-fiction, publiées en versions imprimée (CreateSpace), audio (Audible) et électronique (Kindle). Ces oeuvres sont distribuées exclusivement par amazon.com aux États-Unis et amazon.ca au Canada.

Voici la conception de la couverture de Mind the Gap, le premier roman de la collection, à paraître en septembre 2018 sur amazon.com et amazon.ca … Restez à l’écoute!

Photographie du masque à gaz Mark IV : Andy Hsu
Conception de la couverture : Dorian Danielsen
Ce masque à gaz Mark IV est détenu par un collectionneur privé.

Je compte écrire et publier plusieurs oeuvres dans la collection Evidentia Originals ™, uniquement en anglais au départ. Prochainement, Evidentia publiera une oeuvre de non fiction en même temps que mon long métrage, Éblouis par la mer. Cette oeuvre paraîtra en versions imprimée (CreateSpace), audio (Audible) et version électronique (Kindle). Cette oeuvre sera distribuée exclusivement par amazon.com aux États-Unis et amazon.ca au Canada.

(Veuillez noter que ce site Web Evidentia n’hébergera pas de fonctions de commerce électronique, ni ne collectera ni ne stockera des informations confidentielles à votre sujet.)

Auteur, je suis membre de l’Union nationale des écrivains du Québec ainsi que de la «Writers’ Union of Canada».

J’ai rédigé une biographie non-autorisée de Conrad Black, Robber Baron en VOA, et Le baron Black en français. Cet ouvrage ne fait pas partie de la collection Exclusivités Evidentia.

Voici le premier chapitre.

Tiré à 10 000 exemplaires en français, l’ouvrage est désormais épuisé.

Voici ce que disent les critiques:

* Cal McCrystal dans The Independent on Sunday (Londres) : « Dans cette biographie de Conrad Black, il est souvent question de pouvoir et d’emprisonnement. L’ouvrage explore comment Black a exercé le pouvoir, comment il s’est fait piéger par la volonté de tout contrôler, et comment cela a entraîné chez lui des frustrations violentes: il traitait son collège privé huppé de Toronto de ‘camp de concentration’, il trouvait sa ville natale de Toronto d’un provincialisme étouffant, il s’est senti à l’étroit au Canada, pays qu’il a jusqu’à récemment méprisé, et – aux dires du biographe – même le monde est devenu trop petit pour lui… Ce portrait intime et détaillé regorge de références à Machiavel …. L’auteur juxtapose habilement ces intuitions passionnantes avec de longs extraits d’entretiens  effectués  avec Monsieur le baron lui-même, des explications judicieuses des nombreux coups fumeux réussis  par Black, y compris la façon ingénieuse dont il a pris le contrôle du Daily Telegraph, ainsi que des témoignages colorés et percutants lors de son procès à Chicago pour fraude et entrave à la justice. »

* Mark Fitzgerald dans Editor & Publisher (New York): « Dans cet ouvrage fort agréable à lire, Tombs en fin psychologue dresse un portrait objectif de Black, mais il le fait avec perspicacité. L’on compare souvent Black à Citizen Kane, et Black lui-même encourage cette comparaison. Mais l’originalité de Tombs réside dans le fait qu’il révèle le ‘Rosebud’ dans la vie de Black – en 1953, le jeune Conrad a traversé l’Atlantique en paquebot pour assister au couronnement de la reine Elizabeth II. Le père de Black – homme très fortuné – a tout fait pour avoir les meilleures cabines à bord, en première classe, et des places au premier rang de la célébration royale. »

* Conrad Black, le baron Black de Crossharbour, dans A Matter of Principle : « George Toombs [sic] a sorti à toute allure un travail de salissage… »

* Peter C. Newman dans le Toronto Life : Le baron Black est « un ouvrage superbe qui contient beaucoup de matière à la fois nouvelle et … franchement bizarre. »

* H.J. Kirchhoff dans le Globe and Mail (Toronto): «cette nouvelle édition du livre de Tombs, initialement publié en 2004, fait le tour de tout ce qui s’est passé dans la vie du magnat de la presse déchu, surtout lors de son procès et de sa condamnation à Chicago, événements auxquels l’auteur a lui-même assisté. L’ouvrage est basé en grande partie sur des entretiens nouveaux et des documents inédits. »

* Robert Fleury dans Le Soleil (Québec): « Conrad Black? J’avoue manquer d’objectivité car j’ai été, il y a une trentaine d’années, un de ses proches collaborateurs. S’élever si haut pour tomber si bas… Quel désastre! – Offrez vous l’excellent Le baron Black de George Tombs, aux Éditions de l’Homme. Édifiant! »

* Phillip Adams, animateur de Late Night Live, émission radiophonique de la Australian Broadcasting Corporation: « George, vous êtes un écrivain très malin! »

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De plus, en 2012 l’Organisation de l’aviation civile internationale, une institution spécialisée des Nations Unies, m’a chargé de rédiger un ouvrage historique, publié l’année suivante.

J’ai rédigé des milliers d’articles pour des journaux et revues à travers la planète. J’ai également réalisé des milliers de documentaires, reportages, topos etc. pour CBC Radio, Radio-Canada, National Public Radio (aux É-U), et BBC Radio, sans compter les autres. Mes reportages au sujet de la Patagonie, la Guyane française et le Grand nord canadien m’ont valu la bourse Michener, l’un des principaux prix de journalisme au Canada. Cette bourse m’a permis de faire une étude comparative de l’éthique des médias au Canada, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France, les quatre principaux pays où j’ai exercé le métier de journaliste.